Trouver une manière sensible d’aborder l’esthétique de l’Anthropocène, interroger le devenir du paysage dans les arts visuels en écho aux écrits de l’anthropologue Anna Tsing sur les ruines du capitalisme… C’est avec cette ambition que Matthieu Duperrex, artiste et philosophe, a entamé une résidence de création à la Gaîté lyrique en vue d’une restitution publique le mardi 4 juin dans le cadre du cycle “Recherches à découvert”. Pour ce faire, Matthieu compte croiser ses travaux de thèse (Arcadies altérées, Territoires de l’enquête et vocation de l’art en Anthropocène) et un récit littéraire récemment publié aux éditions Wildproject, Voyages en sol incertain.