Adèle Castillon en concert à la Gaîté Lyrique, ou les débuts frémissants d’une jeune artiste à suivre de près dans les mois à venir !
À 20 ans, Adèle Castillon a déjà vécu plusieurs vies. De quoi nourrir sans effort les textes intimistes d’un premier album racontant sans fard une première rupture amoureuse, les tourments de la dépendance affective et de la dépendance tout court. Le tout avec cette authenticité et cette fraîcheur poétiques qui rendaient déjà irrésistibles les chansons de Vidéoclub, le duo électro pop à la nostalgie très 80’s qu’elle forma à Nantes avec Matthieu Reynaud, à l’âge de dix-sept ans. Le clip d’Amour plastique, bricolé avec les moyens du bord et partagé par un acteur mexicain d’une série Netflix qui le rendra viral, leur attirera plus de 200 millions de streams. Une légende naîtra, achevée par une tournée et un dernier clip, SMS, résumant avec malice trois ans d’amour et annonçant leur rupture.
La suite, c’est elle qui l’écrit, seule : signée sur le label musique d’Iconoclast, elle a trouvé en Surkin, talent affûté de l’électro aussi précoce qu’elle, le partenaire idéal pour tracer à deux un horizon musical neuf, alliant l’innocence de la pop française à un esprit homemade et jusqu’au boutiste, nourri d’impeccables références : Taxi Girl, Suicide, Billie Eilish, Madonna, Beach House, Tame Impala, Chromatics, Mylène Farmer ou Agar Agar. Après son premier single, Impala, et après avoir été nommée Révélation de l’année aux NRJ Music Awards 2022 en fin d’année, elle revient avec un nouveau single à la pop plus profonde, plus personnelle, plus aboutie aussi. Elle y raconte la complexité d'un amour périmé, entre souvenirs intenses, joyeux et moments de mélancolie. Le clip, écrit et réalisé par Adèle elle-même, rend hommage aux derniers instants d'une rupture. La suite de l'histoire est à suivre sur scène.
Première partie : Romsii (DJ set)