Portland, berceau de la musique underground américaine, envahit Paris, Metz et Nantes pour un voyage de 10 jours entre préoccupation environnementale et révolte Indé
À la Gaîté lyrique, au Centre Pompidou à Paris, au Centre Pompidou-Metz et au lieu unique à Nantes
Portland à la Gaîté lyrique
Après Istanbul en septembre 2011 et Berlin en avril 2011, Portland s'installe à la Gaité lyrique, du 24 au 29 avril 2012.
Richesse artistique, diversité musicale, préoccupation écologique, état d'esprit anti-conformiste : Portland n'est pas une ville comme les autres.
L'esprit de Portland circule à la Gaîté lyrique autour de 5 soirées de concerts : des cartes blanches aux artistes locaux Stephen Malkmus et Tara Jane O'Neil, une soirée hip hop "Portland Groove" qui convie Slimkid3 (formerly of The Pharcyde), une invitation au festival Music Festival North West et une soirée qui finira en soirée rock electro avec YACHT programmée par le PICA-Portland Institute of Contemporary Art.
A noter, Experimental ½ hour, un programme tv collaboratif de l’hertzien de Portland sera diffusé pour la première fois à Paris pendant toute la semaine.
KEEP PORTLAND WEIRD à la Gaîté lyrique c’est aussi :
- une identité graphique signée par Crash America, une figure du graphisme musical de la ville.
- une compilation en édition limitée sous la forme d'un double vinyle, en vente durant toute la durée du festival.
En vente à la Gaîté les soirs de concerts, à la boutique Amusement, chez Colette, chez Ground Zero et chez Galsrock.
Série limitée à 500 exemplaires numérotés - Prix de vente : 25€. Tracklist. - Le "Portland Village" autour de la salle de concert : hot dogs, bagels, goodies, disquaires et bonne musique pendant tout le festival avec Missisipi Records, Travel Portland, les vidéos de Experimental 1/2 hour et les photos de Marion Seury. Accessible librement tous les jours de 14h à 19h, et avec un billet concert après 19h.
PORTLAND, OREGON, USA. Ville musicale.
Depuis une dizaine d’année, le nom de la ville circule chez les mélomanes, comme Katmandou à l’époque des Hippies. Portland serait le graal de la musique « indé », la ville cacherait des trésors « underground » et des génies qui sortent des chefs d’œuvres en secret, les musiciens y trouveraient une inspiration décomplexée et foisonnante….
Portland, ville « verte »
La sève de l'écologie coule dans les veines de ses habitants depuis plus d'un siècle. Dès 1912, la ville mise sur un urbanisme vert et contrôlé. Dans les années 1970, le gouverneur Tom Mc Call fixe les limites géographiques au-delà desquelles la ville ne pourra plus s'étendre : la commune doit donc rénover les quartiers abandonnés pour utiliser au mieux l'espace dont elle dispose.
Portland, ville anticonformiste
Ce qui distingue la capitale culturelle de l'Oregon ce sont ses habitants, leur état d’esprit progressiste et créatif. Portland est un bourg rempli de hippies du XXIe siècle. Une ville pour ceux qui veulent réinventer le monde en vert, une ville de créateurs. Loin des stéréotypes, imaginez une petite sœur de Seattle avec une passion folle pour la cuisine bio, locale, et l'activité communautaire …
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